Comment être disciple.
- En intégrant dans notre quotidien, dans notre vie quotidienne la quête de la parole de Dieu, la recherche de la parole de Dieu
Esaïe nous rappelle qu’on peut avoir le langage de disciple dans la mesure où la parole de Dieu façonne tout notre être, corps, âme, esprit et pensées
Quand la parole de Dieu nous habite, des changements s’observent, des changements sur tous les plans, même le langage que nous pouvons avoir vis-à-vis des gens que nous considérons comme rien, telles les berceuses, nos filles et garçons de course que nous appelons communément bonnes et domestiques change ; même la manière de les traiter change.
Quand la parole de Dieu nous habite, notre langage sera capable de soutenir celui ou celle qui est fatigué pas le décourager.
Telle est la 1ère implication
La deuxième conséquence selon Esaïe ce n’est pas être rebelle contre Dieu et contre l’autre dans la mesure où le Seigneur t’aura ouvert les oreilles pour entendre et aire descendre cette parole dans ton cœur pour qu’elle oriente tes projets.
Se rebeller contre elle expose le disciple aux forces contraires.
La Parole de Dieu nous oriente dans le choix de projets utiles pour nous même et pour notre propre famille, pour l’Eglise et pour la société.
Ta parole est lumière dans mes sentiers.
Eclairés par la parole, les projets que nous formons et qui se réalisent sont une bénédiction pour nous-mêmes, pour nos familles, pour l’Eglise et pour la société.
L’autre implication dans la vie du disciple est que la Parole me fait aller de l’avant dans ma croissance spirituelle.
Quand il n’y a pas de croissance dans la vie de quelqu’un, cela suscite des inquiétudes et des étonnements dans le chef des autres. Quand on te voit au même stade de quelqu’un qui est à l’école du dimanche et pourtant tu es un adulte, cela suscite des inquiétudes.
La méditation de la Parole nous porte vers la maturité spirituelle et nous permet d’être capable d’exhorter les autres.
La 4e implication est que quand on vit la parole de Dieu et qu’on la mette en pratique, on devient un modèle ç imiter même dans les vastitudes de la vie ; même dans les pressions quotidiennes.
Nous sommes soumis ç beaucoup de pressions au quotidien. Notre travail nous met en présence des défis.
Ces pressions sont des opportunités pour que nous nous exercions à la piété, à la vie de la différence avec le train de vie dans la mesure où nous avons une promesse de la vie présente et la vie à venir.
La société congolaise nous impose un mode de vie qui est en conflit avec l’identité du disciple de Jésus-Christ. A la fois, nous devons savoir c’est dans l’épaisseur de ce mode de vie, de pressions que nous sommes appelés à exercer la vie de piété, la vie de la foi, la vie de disciple qui vit la réforme n’est pas une vie douillette tranquille comme un fleuve sans être confronté aux pressions de la société.
Dans ses exhortations à Timothée, Paul de nous exhorter aussi de travailler, de lutter parce que nous avons placé notre expérience en un Dieu vivant qui est notre Sauveur donc capable de nous sauver de toutes les pressions pour que nous ne tombions dans leur tentation.
La seule arme qu’il nous donne ici c’est de nous exercer à plaire à Dieu en nous efforçant à marcher à contre-courant pas nous laisser entrainer par les vagues des pressions du monde.
Sommes invités à dire non aux différentes pressions, à fournir des efforts pour dire non aux pressions et continuer à aspirer à ressembler à Christ pour être à sa stature parfaite.
Voilà ce que Paul nous recommande.
Nous sommes appelés à nourrir note foi par des paroles de la foi et de l’enseignement de la Bible pour demeurer un disciple ou un modèle en paroles, en conduite en amour, en foi dans notre société qui prend des proportions inquiétantes dans la perversité.